Promenade ...

La petit fille eut un rire cristallin :

" Tu es bien prétentieuse ! Qu'essais-tu de faire ? Me faire regretter ? Enfoncer les Résistants ? Et bien je te conseille de tenter la chose d'une autre manière, tu es loin du but ! Lunaë, l'Empire lui-même résonne de cris de guerre, l'affrontement est inévitable, ton peuple va sortir du Du Weldenvarden tu es la honte des Elfes, jamais une traitresse aussi jeune soit-elle, ne se serait permise de dire cela devant une Chatte Garou, magicienne qui plus est ! Il me suffit de penser à ta mort et quelques secondes plus tard, tu giseras sur le sol. La guerre approche et bientôt, tu regretteras amèrement ta décision. Quoique tu décides, quoique tu face, tu es lié à ton peuple. Que feras-tu quand tu devras tuer ta propre famille ? Ta propre Reine ? Quand tes proches te supplieront de les laisser sain et sauf, levant vers toi un visage emplis de peur et de larmes, eux qui t'ont aimés et secondés ? Tu éprouveras un plaisir pervers devant leur détresse mais la tienne, de détresse, sera à ce moment rendue au centuple et celà Lunaë, c'est inévitable, quelque soit les sorts et les modifications que t'apporta l'Empire, quelque soit les propos des serviteurs de Galbatorix. Tu périras pleine de remords, c'est une promesse. " une détermination froide et pleine de promesse faisait vibrer la voix de Sayaë.

" Je te hais, Lunaë, je te tuerais c'est promis, ne t'inquiète pas. " fit-elle en riant, ce qui terrifia Lunaë. Puis, une moustache se dessina sur les joues de Sayaë, peu à peu, elle redevint Chat-Garou, griffa Lunaë d'un coup de patte puissant et disparus.

La Chatte-Garou savait que cette griffure couserait une douleurs terrible a Lunaë mais celle ci disparaitrerait rapidement, la cicatrice, en revanche, ne s'effacera jamais car cette dernière avec été faite par Magie.

" Souvenir des Elfes ! Tu auras toujours cette zébrure sur la joue !" pensa-elle en riant.

Assise sur son cheval Kévia regardait en souriant à la fois Lunaë et Silya. Elle écouta avec attention ce que disait la petite fille et elle manqua plusieurs fois de rire. Lorsque l'empoisonneuse vit les moustaphe de Silya se dessiner, son sourire s'effaça lentement et alors seulement elle comprit les intentions de la chatte garou:

"Bon sang!" dit elle en talonnant sa jument qui surprise s'élança rapidement mais pas assez pour arreter à temps les griffes qui s'abatirent sur la joue de l'elfe.

Kévia dû tirer sur les rênes de sa monture pour arrêter celle-ci. Elle se trouvait à la hauter de l'elfe à présent et elle regarda la chatte-Garou s'enfuir.

"Et après cette chatte vient nous parler d'honneur et de patriotisme, mais elle s'enfuit à toutes pattes. Et frappe comme une traitresse qui plus est."

Un rire mauvais secoua les épaules de la guérisseuse qui se retourna vers l'elfe.

"Montre moi ça!" dit elle en prenant le menton de Lunaë dans sa main pour lui tourner la tête et observer la griffure.

Lunaë ne s'attendait pas à ce que Silya la griffe d'un seul coup, comme ça !

L'elfe tourna sa tête pour la montrer à Kevia qui s'était rapprochée d'elle.

"Pourquoi m'a-t-elle simplement griffée ? Purquoi depuis le temps qu'elle le dit, ne m'a-t-elle pas tuer ? Cette griffure est-elle simplement le début de l'execution de sa promesse de me tuer ? Enfin ... je ne vais pas m'en plaindre ..." soupira la jeune elfe.

Bon ... elle avait en fin trouver Kevia et c'était ça l'essentiel, elle se sentait moins seule à présent !

Les gens continuait de circuler, comme si rien ne s'était passé ... pourtant Silya s'était transformée et elle avait bondi d'un coup sur Lunaë ...

"Etrange" se dit l'elfe

Après tant de jour à traverser plusieurs lieu entre le Du Weldenvarden je fus enfin arriver devant les portes de Teirm avec mon cheval blanc comme de la neige et mes affaires dont, mon arc et mon carquois. Celle-ci était garder par deux gardes dont ils me demandèrent:

-Que venez-vous faire ici, loin de chez... vous ?

Il accentua sur le 'vous' de peur de faire quelque chose de mauvais et de savoir si j'allais sortir quelque chose d'innabituelle, j'attendis quelque minute juste après je leur répondis:

-Je passe juste pour pouvoir acheter et vendre quelque marchandise, si cela vous gène je peux repartir !

Ils me regardèrent et me laissèrent passer sans de difficulter, je traversais les chemins tout en regardant autour de moi je fus émerveiller par tant de beauter je vis plusieurs villageois me regarder avec de grand yeux rond, mais, je ne fis pas attention et je continuais à traverser l'allée.